Expositions

Artistes ayant exposé à l’ArTbre de Vie

Françoise Royer Rondeau est née à la Baule, Loire-Atlantique. Elle a vécu pendant quinze ans à Saint-Nazaire, ville ouvrière et portuaire. C’est dans la « maison des jeunes » de son quartier qu’elle a découvert l’art de la photographie argentique.

2011 voit son passage au numérique, et le début d’un travail axé sur l’Humain et son environnement, le corps et la matière, l’ombre et la lumière, le réel et l’imaginaire.

Michelle MEHA (ou MIMEO) travaille essentiellement la technique du monotype. Elle part d’une tache, une forme, une couleur et les retravaille selon ce qu’elle y projette. Différentes matières peuvent être ajoutées ou imprimées, différents supports peuvent être utilisés.

En ce début d’année, c’est Marie Quilly qui expose à l’L’ArTbre de Vie. Marie n’est pas seulement une superbe danseuse de tango argentin, elle a aussi l’œil aiguisé de la photographe. Elle se saisit de la beauté d’un geste, d’un détail et le met en une lumière vibrante de poésie.

Photos sous cadre de taille 40×50 cm.

« J’ai toujours, à certaines périodes de ma vie, eu besoin de jouer avec de tissu/ cordes / ficelles, en commençant par du macramé, des collages, et maintenant ces tentures-tapisseries, qui rassemblent des souvenirs, traces de vies passées de mes proches, vêtements, colliers, trouvailles diverses.

J’aime aussi dessiner, peindre, principalement à l’aquarelle, faire des carnets de voyage.

En tant que psycho-thérapeute et sophrologue, j’ai animé pendant une dizaine d’années avec une art-thérapeute des ateliers en art thérapie et sophrologie, et pratiqué pour moi même l’art-thérapie, ce qui m’a ouvert quelques chemins vers des expressions de liberté et de profondeur – ce qui se trouve derrière ce que l’on voit.

Les arbres sont inspirés de ceux des abords du halage de la Vilaine. Le paysage évoque un sous-bois dans les Pyrénées centrales. »

« Caresser le Canson les doigts plein de
pastel, faire jaillir les encres, ciseler le
bristol, faire danser les couleurs,
gribouiller, griffonner sur des bouts de
papier… Je m’offre des moments
d’éternité, et je vous les fais partager.
Je dessine au crayon graphite, au
pinceau, au scalpel, au crayon pastel.
Chaque médium, me procure une
sensation différente. Le temps de la
création et les sensations qui s’en
dégagent sont aussi importants que le
résultat final. Ce sont des moments de
calme, de retour sur soi, d’apaisement,
essentiels à mon équilibre.
Mon atelier est installé chez moi, en Bretagne. »

Gaëlle ONILLON

@GaelleAuPetitBonheurDesArts

.Gérard HOCQUET

Plasticien

Travail du dessin depuis toujours.  Passage aux écoles des Beaux Arts de Lille et Tourcoing. Aux ateliers modèle vivant et gravure du Thabor à Rennes, de Laillé, Guichen, Redon.

Maîtres inspirants : Rembrandt, Dürer, Van Gogh, Schiele, Matisse, Alechinsky …et Hergé (il y a longtemps).

Expositions antérieures : Rennes, Noyal sur Vilaine, Guichen, Dinard, Béganne, Redon…

Recherche dur le dessin sur le vif comme une écriture «   naturelle   », inscrit dans son cadre et mis en scène, avec ou sans couleurs.

La peinture comme une expression originale et spontanée, chorégraphique, nourrie du dessin, mais sans volonté représentative.

La gravure sur lino comme un travail de simplification et stylisation. A la recherche de la force des formes rendues à leur expression la plus simple. Le monotype : mettre une intention et laisser leur place aux matières : encres, papiers…

Conchita REGNIER est née en 1952 près de Redon.

Elle dessine, peint et sculpte depuis son enfance.

Actuellement à la retraite, son travail d’aide-soignante à l’hôpital de Redon ne l’a jamais empêchée de créer. Elle transforme la matière sans arrêt. Sa maison est complètement remplie de ses créations, ainsi que son jardin.

C’est la couleur qui l’inspire, ainsi que les choses qui lui font du bien comme la nature, les animaux, les enfants…)

Son jardin est aussi un lieu où elle pratique le land-art. Elle transforme entre autres des arbustes en personnages, et elle place ses créations à certains endroits afin que le temps continue de transformer son œuvre.

Parmi ses nombreuses créations, elle a sélectionné quelques peintures et des poules en papier mâché pour exposer dans cette vitrine au mois de septembre.

Installée en Loire Atlantique depuis 24 ans, l’atelier de Laurence Sarré est situé à Saint Nicolas de Redon.

Souvent sa signature n’est pas très visible et cherche à s’intégrer à la peinture afin de rester discrète ou apporter un graphisme participatif. Elle est le plus souvent positionnée en bas à droite verticalement afin d’empêcher le tableau de tourner en rond….

Série Territoires Intimes – Ecoulements:
Cette série commencée en 2015 contient l’influence de la série qui la précède sur la répétition d’un geste graphique. Il
s’agit ici de donner sens à des expérimentations d’écoulements d’encres par la couleur.

Série Repair your Holes – True-matismes:
Cette série est née d’une rencontre entre un dessin réalisé dans son premier livre d’artiste (son impression est prévue
automne 2023) intitulé – Repair your Holes – qui parle des manques psychiques que l’on peut sentir à propos de nos
blessures, et une autre série de peintures initialement intitulée – Territoires Intimes – Ecoulements. Certaines des
petites toiles de cette dernière série ont été transformées vers ce nouvel aboutissement.

Née à Vannes en 1971, Catherine Morvan a étudié les Arts du spectacle à la Sorbonne à Paris. Comédiennes, chanteuse, et maintenant metteur en scène, elle fonde en 2009 avec Jean-Claude Oleksiak, la compagnie de théâtre musical « Les bruits de la lanterne ». Durant toutes ces années, elle peindra pour elle-même, essentiellement à l’encre.

En 2002, sa rencontre avec Vincent Vergone, metteur en scène et plasticien, lui permet de relier ses trois passions: la scène, la peinture et la poésie. Elle a pratiqué 5 ans la peinture et la calligraphie chinoise à Paris auprès de YU ZHAO. Elle côtoie régulièrement Diane Latrille avec qui elle approfondit sa recherche picturale et son lien à la gravure.

Comme sur la scène, Catherine Morvan aime improviser avec l’encre. Elle peint en interaction avec l’eau. Elle a besoin d’être surprise pour nourrir ses créations.

Artiste nantaise, Moreane a commencé à peindre sur des calendriers lors du confinement en 2020. Peu à peu elle a développé cet art d’inspiration aborigène. Elle propose des peintures colorées et spirituelles, avec des messages d’ouverture intérieure.

Artiste peintre né le 20 juin 1957 au Venezuela , résidant en France depuis 1973, il a exposé individuellement et collectivement dans plusieurs pays: Venezuela, France, Suisse, Italie, Puerto Rico, Belgique,USA, Espagne, Allemagne, Yougoslavie. Actuellement il vit et travaille à Redon en Bretagne.

« L’art respire dans tout notre univers, on est de simples copieurs de la nature et on a la hardiesse de croire qu’on est des auteurs. On a perdu l’instinct d’observation, l’admiration, sentir, apprécier… être plus proche de l’instinct animal. La femme comme image créatrice, sensuelle, fragile, battante, muse incommensurable de l’artiste. Quel poète n’a pas abandonné son âme pour un regard, un baiser, une simple caresse… devenu ainsi chanson, poème , histoire d’amour.

A quoi sert l’art ? question cruelle pour une difficile réponse… c’est comme demander : pourquoi aimer ?… c’est quoi l’amour? et de trop analyser, et de trop questionner. La vie s’en va, disparaît des nos âmes l’essence même de l’amour. Peut-être un jour… dans le plus profond de notre subconscient… s’ouvrira une fenêtre ou jaillira une lumière d’espoir, compréhension, tolérance, humilité et paix… et seulement ainsi on sera plus humain, l’homme se libérera de l’individualisme, et , la vie, l’univers et l’art seront les vainqueurs de l’égoïsme… un autre monde est possible. » Alvaro Mejias

Né en 1974 à Redon, Sébastien RYO a suvi les cours de l’école PIVAUT de Nantes où il a appris le trompe-l’oeil, le dessin, les techniques de peintures décoratives…

Il a travaillé comme peintre décorateur puis a voyagé en Inde, en Irlande et en Amérique de sud.

Dans le processus de création, il laisse la porte ouverte à l’intuition jusqu’à ce que le tableau trouve son propre équilibre. En ressorte des toiles abstraites où chacun est appelé à développer son imaginaire…